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Le nouveau directeur général de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), Olivier Mushiete, a présenté samedi 11 septembre les axes prioritaires de la gestion des aires protégées en RDC. Au terme d’une mission de service effectuée du 2 au 5 septembre dernier au Parc national des Virunga, Olivier Mushiete affirme qu’il est important de respecter la superficie des toutes les aires protégées de la RDC.

« Le premier axe, c’est l’intégrité du territoire. Dans un patrimoine foncier aussi grand que celui de l’ICCN, qui représente 13,5% de la surface du territoire national, même 22% si on prend en compte les zones tampons, il est extrêmement important qu’on respecte les frontières de nos aires protégées. Le deuxième point c’est de mettre l’homme au centre de notre activité. Ce problème de respect des frontières que je viens d’évoquer tout à l’heure, c’est essentiellement une affaire de coopération avec les communautés locales. Cela passe évidemment par des chemins obligés comme celui du respect des droits de l’homme », a expliqué Olivier Mushiete.

Il faudra aussi, ajoute-t-il, collaborer avec les communautés locales qui vivent à proximité de ces sites et travailler pour l’augmentation d’autofinancement de toutes ces aires protégées, car l’ICCN est fortement dépendant des partenaires extérieurs :

« Le troisième point touche à l’augmentation de nos performances d’autofinancement. Aujourd’hui, l’Institut congolais pour la conservation de la nature est très fortement tributaire d’aide au développement. C’est qui le fragilise un peu dans sa gestion. Or nous avons des capacités d’autofinancement, le premier étant tout simplement l’agroforesterie ».   

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