Le CREFDL accuse plusieurs entreprises publiques d’arnaquer leurs employés, en les rémunérant aux taux de change de 2015.
Plusieurs entreprises publiques rémunèrent les agents aux taux de change de 2015, constate dans un communiqué le Centre de recherches en finances publiques et développement local (CREFDL).
Ce qui, considère-t-il, constitue « une arnaque » et un manque à gagner important.
A ce jour, selon la même source, les salariés de la fonction publique ainsi que ceux œuvrant dans des institutions publiques ont perdu entre 10% et 13% de leur pouvoir d’achat en six mois, 45% pour ceux qui évoluent au sein des entreprises publiques.
En plus, ce centre a constaté après deux ans, une dépréciation de la monnaie entraînant une dégradation de la situation socioéconomique de la population, et dont les résultats d’une munie enquête réalisée, a relevé que dix taux de change sont appliqués actuellement en RDC, en violation du taux budgétaire, sensé règlementer le marché en RDC, révèle-t-il avant de poursuivre : « Dix taux de change sont appliqués actuellement en République démocratique du Congo, en violation du taux budgétaire, sensé règlementer le marché du pays ».
Ceci démontre selon le CREFDL que les institutions publiques aussi spéculent sur le taux de change. Un agent qui gagnait 350.000 FC par exemple, équivalent de 233 USD au taux de change de 1.500 FC le dollar et 173 USD au taux budgétaire appliqué en 2023 (2021 FC pour 1 USD), enregistre une perte de 60 USD.
Les nouvelles mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la spéculation du taux de change ne pourront avoir un impact que si des enquêtes sérieuses sont menées et les auteurs réprimés conformément à la loi, selon cette structure qui invite le gouvernement à uniformiser le taux de change applicable aux salaires des agents publics et autres opérations monétaires en RDC à procéder à la fermeture des bureaux de change clandestins, non certifiés par la Banque centrale du Congo ; à la dédollarisation dans le circuit de la dépense publique et dans le commerce; au respect strict du taux budgétaire par le gouvernement pour éviter les dérapages.
Au début de cette semaine, le ministre des Finances, Nicolas Kazadi a annoncé certaines mesures du gouvernement visant concourir à l’instabilité du taux de change. Parmi celles-ci figure, le paiement des impôts en franc congolais.
Boni Tsala / Digital Congo
Ce qui, considère-t-il, constitue « une arnaque » et un manque à gagner important.
A ce jour, selon la même source, les salariés de la fonction publique ainsi que ceux œuvrant dans des institutions publiques ont perdu entre 10% et 13% de leur pouvoir d’achat en six mois, 45% pour ceux qui évoluent au sein des entreprises publiques.
En plus, ce centre a constaté après deux ans, une dépréciation de la monnaie entraînant une dégradation de la situation socioéconomique de la population, et dont les résultats d’une munie enquête réalisée, a relevé que dix taux de change sont appliqués actuellement en RDC, en violation du taux budgétaire, sensé règlementer le marché en RDC, révèle-t-il avant de poursuivre : « Dix taux de change sont appliqués actuellement en République démocratique du Congo, en violation du taux budgétaire, sensé règlementer le marché du pays ».
Ceci démontre selon le CREFDL que les institutions publiques aussi spéculent sur le taux de change. Un agent qui gagnait 350.000 FC par exemple, équivalent de 233 USD au taux de change de 1.500 FC le dollar et 173 USD au taux budgétaire appliqué en 2023 (2021 FC pour 1 USD), enregistre une perte de 60 USD.
Les nouvelles mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la spéculation du taux de change ne pourront avoir un impact que si des enquêtes sérieuses sont menées et les auteurs réprimés conformément à la loi, selon cette structure qui invite le gouvernement à uniformiser le taux de change applicable aux salaires des agents publics et autres opérations monétaires en RDC à procéder à la fermeture des bureaux de change clandestins, non certifiés par la Banque centrale du Congo ; à la dédollarisation dans le circuit de la dépense publique et dans le commerce; au respect strict du taux budgétaire par le gouvernement pour éviter les dérapages.
Au début de cette semaine, le ministre des Finances, Nicolas Kazadi a annoncé certaines mesures du gouvernement visant concourir à l’instabilité du taux de change. Parmi celles-ci figure, le paiement des impôts en franc congolais.
Boni Tsala / Digital Congo